L’orgueil démolit plutôt qu’il ne construit et explique nombre d’échecs. Courir jusqu’à tomber dans le trou, trop convaincu qu’il n’y en avait pas ou que l’on pourrait sauter au-dessus…
L’orgueil complique la gestion des émotions (colère, honte, irascibilité, aigreur, rancune…), nie toute forme d’empathie, dégage une froideur et pousse parfois à une extrême combativité pouvant mener à l’épuisement des ressources.
Le chef d’entreprise mu par l’orgueil vit plutôt dans l’envie, l’absence de compassion, le stress, l’hypocrisie, la haine ou la médisance parfois.
L’humilité prend le contre-pied.
Et vous, êtes-vous plutôt humble ou orgueilleux ?